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Projet Educatif Lassallien

Le Projet éducatif lasallien dont vous lisez ici les grandes orientations, se réfère explicitement aux valeurs évangéliques et aux intuitions pédagogiques, éducatives et spirituelles de saint Jean-Baptiste de La Salle. Il constitue la base du contrat d’éducation qui lie et guide les personnels de l’établissement, les familles et les élèves, dans la poursuite d’un objectif commun : le développement global de la personne du jeune dans ses dimensions intellectuelle, corporelle, affective, sociale, morale et  spirituelle.


Le fondateur Jean Baptiste de La Salle

jblasalle.jpgUn éducateur de génie

Jean-Baptiste de LA SALLE fut un novateur en pédagogie. Surtout, il sut rassembler et généraliser les trouvailles de ses devanciers. II n’hésita pas à rompre avec les habitudes de son temps

Ses principes

Le caractère global de l’Éducation (à la fois chrétienne, intellectuelle, pratique, morale). L’importance des bases que sont la lecture, l’écriture, le calcul, enseignés comme des apprentissages en tenant compte du rythme de chacun.

Les principales innovations

  • L’enseignement simultané. Dans les classes des Frères, les élèves sont groupés par niveau.
  • Les épreuves de contrôles mensuels, harmonisées et personnalisées.
  • L’apprentissage de la lecture dans la langue maternelle.
  • Le sens pratique de l’enseignement, pour une juste insertion dans la société.

Une sérieuse formation des maîtres, à la fois, chrétienne et pédagogique.

 

Lire plus (chronologie)

1651 : Naissance à Reims dans une riche famille.

1678 : Il est ordonné prêtre.

1679 : Première ouverture d’école à Reims. JBS achète une maison pour loger les maîtres.

Hiver 1683-1684 : il dépense ses biens personnels pour secourir les miséreux.

1686 : Jean-Baptiste de La Salle et ses maîtres décident de s’appeler Frères des Ecoles Chrétiennes et de se consacrer, en priorité, aux             enfants du peuple.

Fin XVIIème – début XVIIIème siècle : Essor de l’institut et fondation de nombreuses écoles. Il est contesté mais tient bon. 

Retiré à Rouen, en 1717, il se démet de sa charge. 

A sa mort, le 7 avril 1719, son institut compte 274 religieux répartis en 27 écoles.